Mondial 2017
La vidéo ça se précise
La vidéo sera en effet en vigueur lors du mondial en France, l'occasion de faire le point sur la manière dont elle sera utilisée. Les arbitres ne seront donc pas les seuls à déterminer l'usage de cette pratique. Les délégués vont en effet avoir un rôle important à jouer. Ce sont eux qui décideront de faire appel à la vidéo pour la validation d'un but (s'il a franchit la ligne ou pas et s'il intervient avant ou après le coup de sifflet final). Mais aussi pour savoir, en cas de litige à quel joueur est attribué le carton rouge, pour revoir des actions qui auraient eu lieu hors du champ de vision des deux arbitres. Ils auront aussi droit de demander l'aide de la vidéo pour les actions qui se passeraient sur les bancs (ex: un mauvais changement). Toutes les actions évoquées précédemment seront donc pour aider les arbitres là où ils ne sont pas, par l'intermédiaire du délégué qui apportera son aide avec son point de vue, depuis la table de marque.
La protection des joueurs mise en avant
Les arbitres eux, auront la main sur la vidéo seulement pour certaines actions. Pendant les trente dernières secondes du match notamment, sur des actions décisives, ils pourront faire appel à cette aide. Autre point important, la protection des gardiens. Cela fait quelques années que l'on voit la mise en place de règles pour éviter les gestes d'antijeu comme les tirs volontaires au visage. La vidéo pourra permettre de juger, si oui ou non, les arbitres pourront disqualifier un tireur pour un ballon dans la tête sur sept mètres. Outre les gardiens de but, les joueurs de manière générale sont aussi visés par ce. La vidéo sera en effet utilisée pour les actions présentant un danger sur les joueurs et si elles méritent un rapport écrit de leur part. En ensemble de mesures que l'on verra donc sur les parquets français au mois de janvier pour le mondial.