Comme nous vous l’annoncions ce week-end, le HBC Nîmes va déposer le bilan. Cette décision a été prise ce lundi en conseil d’administration.
Avec une dette qui s’élève à 340 000€, au minimum, le conseil d’administration du club a donc pris la décision ce lundi 7 mars. C’est le deuxième club cette saison à devoir terminer sa saison prématurément après l’UBB-MB. Le HBC Nîmes ne disputera donc pas ses matchs de play-offs.
En ce qui concerne l’avenir des joueuses, le club n’a pas encore communiqué. Rappelons que le groupe professionnel était composé de 12 joueuses qui devront, à priori, chercher une solution pour continuer de jouer l’année prochaine. La situation est encore plus délicate pour les six filles du centre de formation (Laurie Carretero-Fontaine, Apolline Feuvrier, Victoire Nicolas, Mathilde Vial, Perrine Petiot et Typhanie Plée). Les solutions pour l’année prochaine restent encore vagues, des réunions à venir devraient permettre de voir comment envisager l’avenir.
C’est une très triste nouvelle qui vient frapper le handball féminin français. Et ce, seulement quatre mois après la disparition de l’UBB-MB.
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Put………… !
J'ai la rage contre ceux qui gèrent mal le club ! C'est le club le titre en coupe d'Europe avec Mios qui s'en va !!!!
93 Boulevard de Strasbourg, 76600 Le Havre que USAM Nimes va créer la coté handball féminime avec la base de HBC et leurs trophés.
N'oubliez jamais que HBC Nimes a donné la victoire d'un club Francais en coupe d'Europe, sa formation a formé pas mal des joueuses.
Voila une bien triste nouvelle qui tombe malgrés tous les démentis .Nimes handball féminin n’existe plus .Alors oui les dirigeants sont fautif et Sûment incompétent .Ceci dit le problème c’est aussi le ou les contrôles et les documents fournis qui ne sont pas vérifiés .Plus sa va plus il y a du grand n’importe quoi au niveau gestion et contrôle fédéral .Que se soit côté amateur ou pro .Que dire de certains clubs qui tiennent sur fil ,avec des CMCD non tenue ,des joueuses mutant hors période sans justificatifs et qui joue au niveau national alors que c’est interdit ,des passes droits pour certains clubs .Tout ceci est réel et reflète la gestion et les contrôles bidons à tout niveau amateur et pro .
Le mal est profond ,ce système est à bannir .Les 340 000 de Nimes date pas de cette saison mais bien d’un cumul sur plusieurs saisons ,chaque fois maquille pour passer devant la CNCG qui laisse faire .
Il va falloir revoir le modèle économique pour la LFH et les clubs féminin de manière générale !
Ce qui est dommage c’est que le bassin économique autour de Nîmes est obstruée et que certains clubs pro autour auraient pu ou même dû faire un effort pour les aider à voir la fin de saison ! C’est dommage