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Adrien Dipanda "le gros point fort de l'Attack One est la résistance"
Publi-rédactionnel
A l'occasion de la sortie de la nouvelle chaussure de Kempa, l'Attack One, HandNews est parti à la rencontre de l'international de St Raphaël, Adrien Dipanda, actuellement blessé. Sous contrat avec l'équipementier allemand, le gaucher nous fait son retour sur ce nouveau modèle de chaussures qui est sorti tout récemment et qu'il utilise depuis la préparation du dernier championnat du monde en France.Salut Adrien, comment ça va ?
Oui ça va hormis le fait que je me suis blessé à la cheville et j’ai été arrêté un mois. Je suis retombé sur un pied lors du match face à Nimes. Il me reste 15 jours d’arrêt pour une belle entorse.
Le retour à la réalité après le titre de champions du monde n’est pas trop dur ?
Si, c’est dur, car ça s’est très vite enchainé. On a pas eu de temps de coupure entre le Mondial qui est un événement super fort en émotions, et la reprise du quotidien qui a été également très intense avec la coupe d'Eruope. Ça n’a pas été évident d’enchaîner tout ça.
Qu’est-ce que tu as ressenti pendant ce championnat ?
Le Championnat du Monde s’est super bien passé dans son ensemble. On nous a réservé un très bel accueil dans chacune des villes, tant de la part des sponsors que des coéquipiers et du public.
Tu n’as pas eu peur de tester de nouvelles chaussures à cette occasion ?
Non, elles sont vraiment top. J’ai eu la chance de les recevoir avant le mondial en avant-première.
Qu’en as-tu pensé ?
La semelle est similaire aux précédents modèles d’Attack One. Elle ne glisse pas et accroche vraiment bien ! Le design et les couleurs sont vraiment sympas. J’ai d’ailleurs eu de très bons retours de la part de mes coéquipiers qui étaient agréablement surpris. Elles sont encore plus confortables que les précédentes et je tiens à féliciter l’équipe Kempa qui les a conçues car c’est du très bon boulot !
Et au quotidien, lors des entraînements ?
Je m’entraîne avec tous les jours. Et le gros point fort est la résistance. Les modèles précédents avaient tendance à s’abîmer sur l’avant de la chaussure alors que les nouvelles tiennent le choc. Je joue toujours avec la paire que j’ai reçue avant le Mondial, et elles sont nickel.
A qui les conseillerais-tu ?
Ce sont sans aucun doute des chaussures pour les joueurs de base arrière. Plutôt pour les demi-centres et les pivots. Elles répondent à des besoins d’appuis forts en étant super stables grâce à une zone de contact avec le sol assez large.
As-tu entendu parler des nouvelles Wing Lite ?
Oui, j’ai pu les voir aux pieds d’Uwe Gensheimer lors du Mondial. Les retours sont très bons. La Wing répond à une demande que l’on entend depuis longtemps sur les terrains pour que Kempa propose des chaussures plus légères. Elles sont parfaites pour les ailiers, les gardiens et les personnes plutôt légères. Beaucoup de joueurs recommencent à se diriger vers Kempa grâce à ce nouveau modèle.
Es-tu prêt à les affronter sur les terrains ?
Oui sans soucis ! J’ai déjà rencontré Tom Guillermin de Selestat avec le modèle Fly High. Et c’est avec plaisir que je me joindrais à un petit défi Wing contre les Attack. Ils seront plus rapide et nous plus puissants.
Selon toi, qui ressortira vainqueur de ce duel ?
Je mise sur les Attack, nous sommes plus nombreux !
Quel est ton meilleur souvenir du Mondial ?
C’est difficile à dire, il y en a eu beaucoup ! Je pense que j’ai préféré le match d’ouverture parce qu’il s’agissait d’un moment super important, que l’on attendait tous depuis longtemps. Pouvoir rentrer dans l’arène de bercy et rencontrer tous les supporters. On a été surpris par la force du public et son engouement. C’est là qu’on a compris que l’on allait vivre quelque chose d’exceptionnel. La première Marseillaise à l’Accor Hotel Arena pour ouvrir les hostilités nous a annoncé la couleur des matchs à venir. Et on ne s’est pas trompé car l’enthousiasme du public a été de plus en plus fort au fil de la compétition. Ce 1er match était également pour moi très important car j’ai pu jouer devant ma famille, quelques amis et ma femme. Il y avait vraiment beaucoup d’émotions.