Le Final4 en Croatie, les quarts de finale connus

Arturs Kugis (Vardar)

La Ligue SEHA est entrée dans sa phase finale, et les organisateurs de la compétition ont annoncé le lieu d’accueil du Final4 de la compétition. C’est à Zadar, en Croatie, que se jouera le dernier carré de cette compétition rassemblant plusieurs grosses équipes d’Europe centrale et orientale, le week-end du 3 au 5 avril prochain. Ce sera la troisième fois que la Croatie accueillera ce dernier carré, et pour la première fois dans la cité historique de l’Adriatique, dont la salle Kresimir Kosic peut accueillir 8000 personnes. On ne sait pas encore qui participera à ce Final4, mais le plateau commence à se dessiner puisque les huitièmes de finale ont déjà presque tous rendu leur verdict. Alors que le Meshkov Brest affrontera l’équipe de l’université de Pékin en début de semaine prochaine (matchs les 2 et 3 mars), Presov a facilement éliminé le Spartak Moscou, Vojvodina a remporté ses deux matchs contre Metaloplastika et ça a été plus difficile pour Nexe, qui a perdu le match retour contre Eurofarm Pelister (24-22) mais s’est qualifié grâce à sa victoire de trois buts à l’aller (23-20). Le Vardar Skopje, le Motor Zaporozhye (groupe A), Veszprém et Zagreb (groupe B), classés aux deux premières places de leurs groupes respectifs, étaient déjà qualifiés pour les quarts. Hormis Zaporozhye, qui affrontera le vainqueur de Brest-Pékin, les trois autres connaissent leur adversaire et leur calendrier pour les quarts.

Le programme des quarts de finale de la Ligue SEHA

Tatran Presov (Slovaquie) – Zagreb (Croatie), aller le 7 mars, retour le 11 mars
Vojvodina (Serbie) – Veszprém (Hongrie), aller le 8 mars, retour le 14 mars
Nexe (Croatie) – Vardar Skopje (Macédoine), aller le 8 mars, retour le 15 mars
Beijing Sports University (Chine) ou Meshkov Brest (Biélorussie) – Motor Zaporozhye (Ukraine), dates à définir

Au Final4, le vainqueur de Presov-Zagreb affrontera celui de Nexe-Vardar. Le vainqueur de Vojvodina-Veszprém sera opposé à celui de Pékin/Brest-Zaporozhye.

Mickaël Georgeault