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Les jumeaux Cikusa, nouvelles pépites des Hispanos

, par Oscar

Djordje et Petar Cikusa
Djordje et Petar Cikusa (source : RFEBM)
Deux jeunes frères jumeaux sont en train d'émerger à vitesse grand V de l'autre côté des Pyrénées. Mais qui sont-ils exactement ? Vous ne les connaissez peut-être pas encore, mais ces deux jeunes frères jumeaux sont en train de brûler les étapes et d'exploser au plus haut niveau. Djordje et Petar Cikusa, âgés de 17 ans, sont en effet les deux dernières perles issues de la cantera (centre de formation) du FC Barcelone. En l'espace de quelques semaines, ils ont déjà intégré l'équipe première du grand club catalan, commencé à montrer de belles choses durant leurs premières minutes en Ligue des Champions, et viennent d'être convoqués par le sélectionneur des Hispanos Jordi Ribera. Les deux pépites espagnoles sont le fils d'un ancien joueur serbo-monténégrin, Zoran Cikusa, installé en Espagne après y avoir joué. Ils se sont illustrés dès leur première sélection en Golden League face aux Pays-Bas, avec 4 buts chacun et des actions foudroyantes, comme ce tir magistral de Petar: https://twitter.com/Data7M/status/1720173747703845374 Tous deux jouent à l'arrière : Petar alterne entre arrière droit et demi-centre, poste sur lequel il dépanne au Barça pour remplacer le blessé de longue Domen Makuc, et Djordje évolue sur le côté droit, bien qu'ils soit aussi polyvalent car ambidextre. Les deux frères ont un physique similaire, longiligne, et mesurent tous deux plus d'1m90. "Petar est plus mince en ce moment, mais il est plus rapide et plus électrique. Djordje a plus de masse musculaire, mais il est capable de faire d'autres choses", décrit l'ex-gloire espagnole et du Barça Raúl Entrerríos à Marca.
Djordje Cikusa
Djordje Cikusa (source : FC Barcelone)
Dika Mem s'est également montré impressionné par les deux jeunes frères et notamment Petar, comme il le révélait récemment dans Mundo Deportivo : "Je pense que Petar peut marquer une ère au Barça. Nous sommes tous attentifs à lui, et moi encore plus, je me suis un peu reconnu en lui quand je suis arrivé ici. Je l'aime beaucoup et il va devenir un très bon joueur, c'est certain". On tient là deux noms à suivre de très près pour ces prochaines années, qui devraient assurer un renouveau sur la base arrière de l'Espagne après deux autres illustres fratries, celle des Entrerríos et les Dujshebaev, ces derniers (toujours actifs et en sélection) faisant office de mentors pour les deux prodiges du Barça.

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Etienne221
Etienne221
5 mois il y a

C'est ce qui manque à l'équipe de France, quelques très jeunes qui explosent. La génération Minne-Richardson-Fabregas, arrive à maturité, mais derrière y a t-il quelques très bons jeunes en devenir ?

jpf_hb
jpf_hb
5 mois il y a
Répondre à  Etienne221

Dans la génération 2002/2003, il y a Pimenta et Fadhuile.

Pour la génération 2004/2005 j'en connais peu mais un article est sorti sur le site de la FFHB cette semaine : https://www.ffhandball.fr/actualite/equipe-de-fra

Dans la génération encore en dessous (2006), j'en connais plus car il y a beaucoup d'alsaciens à suivre : https://www.ffhandball.fr/actualite/equipe-de-fra

Mais effectivement, pour l'instant on est loin des générations plus vieilles qui ont beaucoup dominé leurs catégories, mais il faut laisser du temps au temps…

cochonne
cochonne
5 mois il y a
Répondre à  jpf_hb

Bonjour.
Le patronyme aide aussi pas mal dans certains cas 😉

jpf_hb
jpf_hb
5 mois il y a
Répondre à  cochonne

Clairement dans la génération 2006, il y a beaucoup des "fils de" (et il y en a d'autres qui arrivent quand on voit les perfs du jeune Narcisse avec la réserve du PSG)

Mais à la vue des résultats du Tiby cette semaine, cela confirme que les catégories jeunes dominent moins qu'avant (comme les séniors au passage)

cochonne
cochonne
5 mois il y a
Répondre à  jpf_hb

Bonjour jph
S'appeler X ou Y ne doit pas être un frein mais pas un critère de prėfėrence non plus sauf qu'à l'heure de sėlectionner quels jeunes à 14-15 ans seront aiguillės vers la filière de prėparation au professionnalisme il arrive, mais celà n'engage que moi, que le patronyme et le lobbying parental soit un critère de choix.
Bien ėvidement le juge de paix sera le terrain mais il y a quand même de temps en temps une petite forme d'injustice quand on compare par le stricte niveau.
Après me direz-vous, une annėe au pôle n'est pas donnèe si j'en crois ce qu'on m'en a dit.
Je me souviens d'un cas pas si lointain ou on est même allė jusqu'à publier un article dans le journal pour plėbisciter un jeune "fils de" local recalė pour l'excellence par des formateurs soi-disant passés à côtė de ce talent brut et qui avait pu intėgrer un centre de formation rėputė…ou il n'en est absolument rien advenu…

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