EURO (M)
"On est vraiment qu'à la moitié", Ludovic Fabregas
Le ticket pour les demi-finales est en poche, les Bleus ont coché une première étape dans cet Euro. Retrouvez les différentes réactions des tricolores.
"La première mission est accomplie, c’était important de pas se mettre en difficulté, de gagner ce match. Au début, on a été sous tension mais par la suite, on a su se libérer, on a eu des arrêts et une bonne défense. C’est leur première défaite, c’est une bonne équipe, ils sortent l’Espagne, font nul contre la Croatie, accrochent l’Allemagne chez eux. On a beaucoup de respect pour eux, on est contents d’avoir gagné. On a envie de finir cette phase de groupe en étant premier, avec le maximum de points." (Dika Mem)
"C'est qu'un premier palier de validé, on veut pas s'arrêter là. On est contents, fiers. C'est une belle équipe autrichienne. On a eu le contrôle mais on fait des erreurs et on les paye cash, la preuve puisqu'on était menés à la pause. On a pas su faire le trou mais on est restés dedans, patients et avec des arrêts, on a eu les quelques buts d’écart nécessaire pour gagner." (Benoit Kounkoud)
"C'est une bonne chose de réalisée. C’est vrai que comptablement, il y avait un peu de balles de match pour se qualifier avec les deux dernières rencontres mais c'est bien de l'avoir fait sur la première. Ce n'était pas un match simple, on a mis du temps à trouver une défense régulière. On a vu toute la qualité de l'Autriche qui justifie sa place. Il nous a fallu trouver les ressources en seconde période pour l’emporter." (Guillaume Gille)
"La qualification, c’est assuré. On est satisfaits de remplir cet objectif à court terme, on verra ce soir à quelle place on finira. Ça nous récompense, mais à nous de rester concentrés sur le reste de la compétition. Je pense qu’on est à la moitié du chemin, on a fait le nécessaire pour s’ouvrir les portes des demies mais il nous reste encore beaucoup à faire pour aller chercher une médaille. On peut faire un, deux ou trois mais on peut aussi finir quatrième donc on est vraiment qu’à la moitié." (Ludovic Fabregas)
A Cologne, Théo Alleaume