LDC (M) - J12
Paris déroule face à Fredericia et retrouve la victoire
Paris a été bousculé en première période, mais Fredericia s’est rapidement essoufflé, permettant aux Parisiens de prendre le contrôle du match. Kamil Syprzak, une nouvelle fois énorme, s’est illustré avec 10 buts, son record cette saison. Un succès, 38-32, qui redonne confiance à Paris.
C’est un Paris, favori mais en plein doute, qui se déplace au Danemark chez le dernier de sa poule, Fredericia. Et, ce sont les locaux qui prennent les devants les premiers, portés par un public qui répond présent (3-1, 5’). Mais Paris retrouve rapidement de l’efficacité en attaque et revient au contact (4-4, 10’). Thorsten Fries, le gardien danois, démarre fort et pose de sérieux problèmes à l’attaque parisienne, avec déjà quatre parades (8-5, 14’).
Les entrants font du bien
L’entrée de Dani Baijens à la mène fait du bien : le Néerlandais inscrit deux buts consécutifs (9-8, 17’). Paris s’accroche, mais peine à prendre les devants à l’approche de la pause (13-12, 22’). Ferran Solé montre la voie en donnant pour la première fois l’avantage aux siens (13-14, 25’). Après une dernière tentative à 7 contre 6 manquée, Paris rentre aux vestiaires avec un but de retard. Les Parisiens peuvent remercier leurs remplaçants, précieux en fin de première période (17-16, 30’).
La seconde période se lance sous les mêmes auspices que la première, avec le sept de départ parisien et une défense danoise très haute (19-18, 34’). Luc Steins, mieux depuis le début du deuxième acte, perfore la défense étagée de Fredericia. Andreas Palicka, en sauvant un 7 mètres, offre à ses coéquipiers l’occasion de repasser en tête… Une balle transformée par Kamil Syprzak (22-23, 40’). Puis quelques instants plus tard, c’est encore le Polonais qui donne à Paris deux longueurs d’avance avec son septième but de la soirée (23-25, 45’).
Fredericia craque, Paris s'envole
La défense parisienne semble avoir pris le dessus face à l’attaque danoise, qui bute sur le mur blanc et sur l’entrant Andreas Palicka (23-26, 46’). Face à une équipe à bout de souffle, Paris s’envole (24-28, 50’). Les hommes de Raul Gonzalez terminent de la meilleure manière leur match et reprennent confiance avant la suite des compétitions et un programme qui s'annonce très chargé (38-32, score final).
A.F