
Crédit photo : Panoramic / K. Domas
En match en retard de la sixième journée, le Paris Saint-Germain est sorti vainqueur de son court déplacement à Tremblay (33:30). Les hommes de Raul Gonzalez ont pourtant du attendre les dix dernières minutes de la partie pour prendre le large au score. Il aura fallu, pour cela, une énorme partie de Nédim Rémili, auteur de onze buts, dans une soirée où les gauchers parisiens ont été à la fête. Dans le premier acte, ce sont les huit buts de Ferran Sole qui avaient porté ses coéquipiers. Mais pas assez pour décrocher des Tremblaysiens accrocheurs, à l’image de Yosdany Rios. Le Cubain, auteur de six buts. A la pause, les deux équipes étaient d’ailleurs sur un pied d’égalité, 15:15.
C’est finalement presque à l’expérience que Paris a fait le trou. Quelques arrêts de Vincent Gérard, un peu d’énervement et de précipitation côté tremblaysien dans le dernier quart d’heure, et surtout un Rémili monstrueux, bien aidé par Elohim Prandi, ont finalement fait pencher la balance en faveur du leader du championnat. Un leader qui conserve ce soir son invincibilité après avoir été bien chahuté. Les matchs de reprise sont toujours piégeux. Paris en a fait l’expérience ce soir.
triste Paris ce soir , Gardiens encore catastrophiques( les deux) , aucun arret sur des situations decisive . Et surtout ou sont les systemes de jeu ? je m’interroge vraiment cette saison sur le niveau de l’équipe
Quand verra t’on un Paris au niveau qu’il doit être avec cette équipe
Si je me fie aux stats de la LNH, Gérard est à 8/24 (30%) et Genty à 4/14 (29%), c'est loin d'être catastrophique https://www.lnh.fr/lnh/calendriers/20202021/lsl/j…
À l'heure où fleurissent les théories du complot, j'en vois un dont personne ne parle : et si Raul Gonzalez faisait tout ce qu'il peut pour détruire l'équipe du Psg handball ? Pour le compte de qui, je l'ignore encore : les illuminati, l'OM…? Celui qui sait…
Ça a commencé avec le recrutement (Ok, il n'est pas tout seul à décider, mais quand même : comment a-t-il pu laisser partir 2 de ses meilleurs joueurs sans obtenir de remplaçants crédibles en échange ?). Et puis surtout, il y a le jeu. Certes, ça n'a jamais été flamboyant mais là, ça prend l'eau de partout. À commencer par ce qu'il fait faire à Remili : arrière shooteur, j'applaudi, mais demi-centre, faut arrêter tout de suite parce que du coup, on a vu 3 mamouths sur la base arrière, lents, lourds et souvent maladroits. Ntanzi, on est d'accord que ce n'est pas encore ça, mais lui au moins, il bouge et du coup, il fait bouger tout le monde. Et puisqu'il n'y a pas de jeu aux ailes et qu'aujourd'hui, le jeu avec les pivots ne fonctionnait pas, il restait bien peu de cartouches à Paris pour aller gagner chez le dernier du championnat. Ça s'est vu.
On va voir ce que ça donne ce week-end contre Nîmes (ce sera le premier adversaire sérieux du championnat), mais contre Barcelone à Cologue en décembre, c'est tout vu.