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Proligue - J17

Le choc pour Pontault, Dijon ne confirme pas

, par Lanfillo

Pontault-Combault

Dans le duel au sommet de la Proligue, Pontault-Combault s’est imposé face à Cherbourg (26-25) et prend seul la tête du championnat. Nancy confirme qu’il va mieux avec son succès sur Massy, tandis que Dijon s’est lourdement incliné à Nice. Dans le derby alsacien, Strasbourg a écrasé Sélestat.

Alors que le match de Saran, touché par le Covid-19, contre Sarrebourg a dû être reporté, l’opposition entre les deux autres leaders de Proligue, Pontault-Combault et Cherbourg, était très attendue. D’une part, elle permettrait de voir si Cherbourg s’était remis de sa sortie de route la semaine dernière à domicile contre Dijon (32-39). D’autre part, Pontault-Combault, qui avait perdu au match aller (26-25), se devait de montrer ses ambitions face à son adversaire direct pour le ticket d’accession en Proligue dévolu au premier de la saison régulière. Après un début de rencontre équilibré où Dmytro Gunko, l’ancien Cherbourgeois devenu Pontellois il y a quelques semaines, répond à John Nkonda (les deux hommes ont marqué sept des huit premiers buts du match, 4-4, 10’), Pontault prend progressivement l’ascendant grâce à une bonne défense et des arrêts d’Alejandro Romero. Bien servi sur jeu rapide, Adrien Chaudanson donne trois buts d’avance au PCHB (8-5, 14’). Cherbourg se retrouve mal embarqué.

Dmytro Gunko avait des choses à prouver

Alejandro Romero (Pontault-Combault)

Toutefois, dans les dix dernières minutes de la première période, la JSC rattrape patiemment son retard. Sa défense est plus solide, et, bien secondée en cas de besoin par Dan Tepper, elle ne concède que deux buts entre la 20e et la 30e minute. Si cela reste difficile en attaque, les Mauves ne sont plus qu’à un but à la pause (11-10, 30’). Le match reste serré au retour des vestiaires, les deux meilleures défenses du championnat sont à la hauteur de leur statut. Revenu sur le terrain, Dmytro Gunko trouve néanmoins la faille dans la défense de ses anciens partenaires et permet à son équipe de créer à nouveau l’écart (16-13, 39’). Cherbourg resserre les boulons derrière, et retrouve son efficacité défensive qui lui permet de revenir (18-18, 44’). Tout se joue donc dans les derniers instants de la partie. Et là encore, Pontault parvient à tirer son épingle du jeu. Suite à un nouvel arrêt d’Alejandro Romero (12 au total), Alex Moran conclut bien et donne trois buts d’avance à son équipe (25-22, 57’).

Jean-Pierre Dupoux (Pontault-Combault)

Cherbourg ne dit pas son dernier mot, revient à un but alors que le PCHB finit le match en infériorité numérique. Mais sur sa dernière action, Pontault parvient à marquer. Et c’est encore Dmytro Gunko qui est à la conclusion. L’Ukrainien semblait avoir des choses à montrer à son ancien club, qu’il a quitté rapidement après avoir su qu’il ne serait pas prolongé. Auteur de huit buts, il a été décisif dans cette rencontre que les Franciliens remportent avec un but d’écart (26-25). Malgré la solide performance offensive de John Nkonda (9 buts), Cherbourg perd un deuxième match de rang et laisse désormais Pontault-Combault prendre seul les commandes du championnat. Points positifs tout de même : la JSC a retrouvé de la solidité défensive, et, en cas d’égalité avec le PCHB au classement en fin de saison, la différence de buts particulière sera à son avantage. Vu comme ce championnat est serré, ce goal-average particulier pourrait être utile aux Normands…

Nancy confirme, Dijon déçoit

Louis Prévost (Grand Nancy Métropole HB)

Après un début février délicat, Nancy retrouve des couleurs. Les Nancéiens recevaient Massy, sixième et concurrent direct pour une place en play-offs. Après une entame de rencontre compliquée (3-6, 11’), le GNMHB recolle (8-8, 16’), avant de décrocher à nouveau en fin de première période (14-14, 24’ ; 15-18, 30’). Massy prend même cinq buts d’avance au retour des vestiaires (16-21, 33’) grâce à Jules Portet, très efficace au tir avec un joli 7/7 sur le match. Mais après un 7 mètres réussi par Edson Imare, meilleur buteur du match (9 buts, dont 3 pen.), Massy connaît un gros trou d’air. Nancy signe un 5-0, Louis Prévost étant l’auteur du but égalisateur après un arrêt devant Edson Imare (19-24, 39’ ; 24-24, 46’). La fin de rencontre est serrée, Nancy a l’avantage d’un but à l’entrée dans le money-time et alors que Genèse Bouity égalise à plus d’une minute de la fin, le joker médical Elvar Asgeirsson envoie un boulet de canon dans le but massiois à une vingtaine de secondes de la fin. L’Islandais, arrivé cette semaine en Lorraine, a marqué six buts et a été extrêmement précieux pour les siens. Sur la dernière action du match, Antoine Conta tombe sur un Louis Prévost décisif qui offre la victoire à Nancy (31-30). Les Nancéiens signent un succès important au niveau comptable – ils se rapprochent du podium et creusent l’écart sur leurs poursuivants – mais aussi et surtout au niveau mental. La période morose qui les a vus enchaîner cinq défaites de rang semble être révolue ; à confirmer néanmoins mardi, contre Angers.

Pierrick Naudin (Dijon). Crédit photo : Panoramic

À l’inverse, Dijon, qui a livré une prestation impeccable la semaine dernière à Cherbourg, est retombé dans ses travers ce vendredi à Nice. Après une première mi-temps équilibrée (13-12, 30’), le Cavigal a pris le dessus dans le second acte, alors que l’attaque de Dijon, si performante à Cherbourg, s’enraie totalement. Les Bourguignons ne marquent que cinq buts en 24 minutes, dont deux seulement dans le dernier quart d’heure. Encore au contact en début de deuxième période (18-16, 36’), le DMH se fait progressivement distancer (23-18, 44’), et bute trop souvent sur Gretar Gudjonnson, auteur d’une grosse partie (14 arrêts). À un peu moins de dix minutes de la fin, la rencontre est pliée, Alexis Bon donnant huit buts d’avance aux Aiglons (27-19, 52’). L’arrière droit, meilleur buteur de la partie (8 buts), est le dernier marqueur de la rencontre largement remportée par les Azuréens (30-21). Avec ce succès, le Cavigal revient à un point de son adversaire du soir, et se mêle ainsi sérieusement à la lutte pour les play-offs.

Sélestat corrigé dans le derby par Strasbourg

Christophe Viennet (Sélestat Alsace HB)

Derniers du championnat fin décembre, les joueurs et le staff de Strasbourg clamaient que cette place n’était pas la leur, et qu’ils se redresseraient en deuxième partie de saison. Dont acte : les trois premiers matchs de 2021 se sont soldés par une victoire du club de l’Eurométropole. Mais qu’en serait-il face à Sélestat dans le derby alsacien, alors que Strasbourg n’a jamais battu son voisin depuis sa remontée à l’échelon professionnel en 2018 ? La réponse ne s’est pas faite attendre. Dès le début de la rencontre, le club de la capitale alsacienne prend le dessus dans la salle de son rival, grâce à un jeu d’attaque plus précis et de la réussite à 7 mètres (3-6, 12’). Romain Mathias monte assez vite en température dans les cages du SEHB, tandis que Sélestat est inférieur dans tous les secteurs du jeu. Alors quand Téo Egermann, le défenseur le plus solide du SAHB, est exclu définitivement pour une grosse faute sur Clément Damiani (22’), Sélestat perd encore davantage le fil. En tête de cinq buts à la pause (9-14, 30’), Strasbourg assomme son adversaire au retour des vestiaires (9-18, 36’), et garde ensuite son matelas d’avance jusqu’à la fin de la rencontre. Avec notamment 17 arrêts de Romain Mathias et dix buts (dont 7/7 au pen.) de Xavier Moreau, Strasbourg s’impose très largement (24-36) et met fin avec la manière à sa série de défaites contre Sélestat. Les hommes de Christophe Viennet devront vite se reprendre pour effacer l’affront.

Victorieux, Besançon et Angers rebattent les cartes pour le maintien

Dragan Zovko (Besancon)

La Proligue est un championnat plein de surprises, sans certitudes. En fin de semaine dernière, trois équipes semblaient doucement décrocher des autres dans la course au maintien : Besançon, Sarrebourg et Angers. Si les Sarrebourgeois n’ont pas joué ce week-end, les deux autres veulent faire mentir ceux qui les envoient se battre entre eux pour assurer leur maintien. Besançon, tout d’abord, n’a pas manqué son duel contre Valence, qui comptait quatre points d’avance avant cette rencontre. Suite à une supériorité numérique bien gérée, le GBDH prend vite trois buts d’avance (6-3, 11’) et, grâce à une solide première période de Milos Mocevic, prend le large (11-5, 23’). Valence revient à deux buts, mais Besançon reprend le large au retour des vestiaires (17-11, 32’). Les hommes de Dragan Zovko maîtrisent la deuxième période, et comptent encore cinq buts d’avance à cinq minutes de la fin (28-23, 55’). Valence réduit l’écart en fin de rencontre, mais s’incline logiquement en Franche-Comté (30-28).

Jérémy Vergely (Billère). Crédit photo : Panoramic / K.Domas

Angers paraissait être dans une situation plus inquiétante encore, avec cinq points pris depuis le début de la saison. À Billère, le SCO a néanmoins montré qu’il avait de la ressource. Les locaux dominent le début de la rencontre (9-5, 17’), mais le promu angevin revient progressivement au score et les deux équipes sont à égalité à la mi-temps (13-13, 30’). Billère déjoue en début de deuxième période et, suite à plusieurs ballons perdus et tirs non cadrés, prend quatre buts de suite (16-21, 43’). En position favorable, le SCO doit alors tenir le score, ce qui n’est pas forcément son fort depuis le début de la saison. Cette fois, bien que Billère revienne à plusieurs reprises à deux buts, les hommes de Guillaume Dupin gardent leur sang-froid. Steeven Corneil profite du but vide pour redonner quatre buts d’avance aux Angevins à un peu plus de cinq minutes de la fin (22-26, 54’), et alors que Billère est encore revenu à deux buts, la défense angevine tient. Diego Moreno marque dans la dernière minute et assure la victoire du SCO (24-27), qui décroche ainsi ses deux premiers points à l’extérieur de la saison, après avoir perdu lors de ses sept premiers déplacements. Billère, déjà tenu en échec par Angers à l’aller, manque une occasion de faire un pas important vers le maintien.

Le classement et les matchs à venir (avec le rattrapage de la septième journée ce mardi) sont à retrouver à l’onglet Résultats.

Mickaël Georgeault

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drauglin09
drauglin09
3 années il y a

J'ai vu le match de Nancy, avec la nouvelle recrue, y a peut être moyen de faire un truc… Il s'est entraîné 3 fois, à un poste de DC qui demande quand même de connaître ses coéquipiers et il a été bon. J'avais un doute en le voyant débarquer, pourquoi son club allemand s'en séparait si il était si fort que ça ? Peut être qu'il voulait du temps de jeu, et là, c'est clair qu'il va en avoir.
A Nancy, les jokers médicaux bidons, on en a accumulés des tonnes.

Claudy Focan
Claudy Focan
3 années il y a

Enfin la fusion en Alsace, Sélestat 8ème et Strasbourg 9ème !!! Merci aux clubs pour avoir fait jouer le pôle espoir de Strasbourg, les pauvres jeunes privés de compétition depuis le début de l’année ont pris le pas sur des « professionnels » absolument concernés par la valeur d’un derby. Spectacle affligeant de joueurs irrespectueux des partenaires privés et des amateurs de handball privés de jeux depuis plusieurs mois. Strasbourg avec une équipe très très faible à marché sur une équipe de Sélestat complètement démobilisé, c’était journée porte ouverte au CSI.

Handbôlleur
Handbôlleur
3 années il y a
Répondre à  Claudy Focan

On a pas du voir le même match. Une équipe de Strasbourg très faible? J’aimerai vous faire face à eux.

J’ai surtout vu une équipe qui a surclassé l’autre, parce qu’elle était meilleure tout simplement.

La fusion n’a effectivement aucun sens. Strasbourg n’a pas besoin de Selestat pour grandir.

Pirate du PCHB
Pirate du PCHB
3 années il y a

Handbôlleur, vous êtes à 99% d’accord avec Claudy Focan…juste le terme « très faible » qui est, avouons-le, subjectif.

Pirate du PCHB
Pirate du PCHB
3 années il y a

Chantereyne, je n’ai pas vu le match, mais si ce que vous dites est vrai (et je pense que oui, car depuis 6 mois que nous échangeons, je me suis aperçu que je pouvais vous faire confiance), alors effectivement, au delà du fait de jeu (qui peut arriver), une attitude dénuée de compassion aurait dû inciter les arbitres à sortir le carton rouge (et cela aurait pu changer le cours de ce match). Pas de pitié, même pour des joueurs de mon club fétiche! En tant qu’ancien gardien, je n’ai jamais admis que l’on dise: « c’est ma zone et je châtie quiconque y rentre ».
J’espère que pour votre joueur qui a fini à l’hôpital, il y a eu plus de peur que de mal. En tout cas, sachez que je souhaite de tout coeur qu’il s’en remette le plus rapidement possible.
Pour l’analyse de la journée, je suis tout à fait d’accord sur tout ce que vous avez écrit. Merci pour ce post et désolé pour votre joueur.

jpf_hb
jpf_hb
3 années il y a

Dans le débat "Strasbourg surclasse Sélestat" "non c'est Sélestat qui envoie les jeunes" etc… Je suis d'accord que "surclasser" entre 9 et 8eme, c'est un peu fort.
" Strasbourg n’a pas besoin de Selestat pour grandir." C'est avec ce genre de phrases que la fusion n'a jamais eu lieu…

Pourtant les deux ont tant à y gagner, et le handball français également. L'un des meilleurs pôles de France (Strasbourg), l'un des meilleurs centres de formation (Sélestat), deux équipes historiques. Des jeunes recrutés ensuite dans les meilleures équipes françaises ou européennes… Une grande ville "capitale de l'Europe" avec une attractivité, des infrastructures, etc. Il y a quelques années Sélestat en D1 jouait les "gros matchs" (psg, montpellier) au Rhénus de Strasbourg (6000 places) et c'était une vraie fête, une fusion en alternant le CSI, les Malteries et le Rhénus pourrait être une bonne chose (moins de matchs mais + d'attractivité)

Mais non on préfère voire des matchs d'un niveau N2/N1 d'il y a 5 ans et se contenter de ça

Ca fait quelques temps que je le répète, mais dans la guerre Sélestat Strasbourg, moi j'en suis venu à supporter Sarrebourg !

leFnake
leFnake
3 années il y a
Répondre à  jpf_hb

suivre l'exemple de Cesson-Sévigné qui a su grandir avec son voisin rennais. Bien sûr, l'ESSAHB a un historique hérité de la Robertsau, mais avec ses dizaines de saisons en D1, c'est bien Sélestat le club de référence de la région (sauf à remonter au temps du Racing ou de l'US Altkirch)

jpf_hb
jpf_hb
3 années il y a
Répondre à  leFnake

Bien qu'ayant suivi les grandes années de la Robertsau, je suis d'accord pour dire que Sélestat est + historique. Mais ça ne devrait pas être un frein à la fusion, mais plutôt un argument

leFnake
leFnake
3 années il y a
Répondre à  jpf_hb

bien sûr, il s'agirait justement pas que Sélestat disparaisse derrière Strasbourg, d'où par ex un Sélestat-Strasbourg Métropole Handball à l'instar d'un Cesson Rennes Métropole Handball ou alors carrément un nom plus générique du type Handball Alsace Europe à l'instar d'un Rhein-Neckar Löwen

Handbôlleur
Handbôlleur
3 années il y a
Répondre à  jpf_hb

Parce que faire fusionner deux villes éloignées de 45 mn, vous trouvez ça logique?!
Si certaines personnes souhaitent bénéficier de la puissance financière de l’Eurometropole et de ses installations, elles n’ont qu’à rejoindre Strasbourg…

Félicitations à Sarrebourg, autant les faire fusionner eux avec Strasbourg, ca s’écrit presque pareil & en plus c’est éloigné de la même manière que Selestat.

Vous imaginez faire fusionner Nîmes & Montpellier? C’est encore plus près, mais impensable. Arrêtez donc de croire que cette “fusion” arrivera un jour.

Vous avez bien vu le match de vendredi, il y a un club qui, avec ses pros & ses jeunes a surclassé de la tête et des épaules l’autre qui avait des pros également et “le meilleur centre de formation”…

Un club sur une pente ascendante, l’autre,…

Bonne journée

jpf_hb
jpf_hb
3 années il y a
Répondre à  Handbôlleur

La différence c'est que Nîmes et Montpellier ont deux équipes en D1 française et parmis les meilleures équipes d'Europe…

Nous de notre côté on se complait dans notre médiocrité, j'espère que Strasbourg y arrivera tout seul, en attendant ils y arriveraient mieux ensemble

Handbôlleur
Handbôlleur
3 années il y a
Répondre à  jpf_hb

Le club de Strasbourg n’a même pas 10 ans.
Il a fallu reconstruire des cendres de la Robertsau.
Rome ne s’est pas construite en un jour.

Et je répète, une fusion à plus 50km? Infaisable.

fan_de
fan_de
3 années il y a

Les joueurs de Sélestat ont communiqués avec les abonnés au courant de la semaine (appels téléphoniques), ils ont peut-être laissé trop d'énergie dans cette opération :). Si cette démarche est positive ce qu'attende les supporter c'est surtout des résultats, ou au moins un engagement de tous les joueurs (cadres) ce qui n'était pas toujours visibles vendredi dernier.

cochonne
cochonne
3 années il y a
Répondre à  fan_de

Bonjour
La différence entre Sèlestat et Strasbourg se fait au niveau de l'entaineur.
On peut aimer ou pas Denis Lathoud mais c'est un vrai entraineur avec une vraie connaissance tactique et technique..
Christophe Viennet a pour seul fait d'arme une descente en N1 avec Besançon et depuis qu'il est là c'est la dégringolade pour Sélestat.
Ca fait maintenant six ans que le recrutement sur toute la ligne du coach aux joueurs est catastrophique, il n'y a que le centre de formation qui tourne bien mais les jeunes partent.
c'est a croire qu'il n'y a plus de recruteurs dans le club et qu'on s'en remet a des agents qui en profitent pour caser des moutons a cinq pattes dont personne ne veut.
Le Titanic coule mais tant que l'orchester joue tout va bien…

florent2208
florent2208
3 années il y a
Répondre à  cochonne

Tiens le constat de l'état du club de Sélestat, ça me rapelle un certains club de foot , ou plutôt un cirque à Nantes dirigé par un polonais.

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