
Andreas Palicka et Dainis Kristopans (Paris Saint-Germain)
Si Paris a commencé sa saison sur une défaite lors du Trophée des Champions (33-37 contre Nantes), le champion de France a immédiatement relevé la tête (28-33). Nîmes, pourtant sur de bons rails, est passé à côté d’une grosse performance.
Les sudistes ont pourtant eu la main sur le score durant trente minutes. Bien que Paris ait marqué en premier, Mohammad Sanad (7 buts) et Luc Tobie (4 buts) ont permis à leur équipe d’imposer son rythme (8-5, 9′). Aidé par Jozé Baznik (7 arrêts), l’écart sera même de 4 buts (11-7, 13′).
Aux retours des vestiaires, les parisiens vont élever leur niveau de jeu, provoquer, obtenir des fautes et concrétiser de nombreuses occasions. Les joueurs de Raul Gonzalez vont creuser l’écart à la 39′ pour ne plus jamais se faire rattraper, infligeant un 6-1 en à peine six minutes, porté par le réalisme de leur géant letton (6 buts). L’attaque des gardois, moins inspirée et butant sur un très bon Andreas Palicka (12 arrêts), ne recollera pas au score et finira par s’incliner sur le score de 28-33.
Malmené, Paris a su trouver les armes pour se remobiliser même si cela fut brouillon par moment. Nîmes n’aura pas tenu la longueur mais aura montré de belles choses, réussissant à faire douter le champion en titre.
Merci les frères Gasmi, qui, en ne mettant pas le rouge mérite par Steins en 1er mi-temps ont permit cette victoire. Approximations tout le match, alors que cette paire est bonne d’habitude, plus des délégués de table, à côté de leurs pompes, Vranjes doit se demander où il est arrivé !
He les pouces rouges. Vous avez vu le match? Nimes joue à 1000 à l'heure, mais confond vitesse et précipitation au moment où ils peuvent creuser l'écart. Ensuite plus d'essence…
Paris, après avoir frôlé la correctionnelle a joué à sa main. OK. Mais.
En 1er mi-temps, Steins croche le bras tireur en retard. les arbitres se consultent, Steins regarde ses basket, et ne prend que 2 minutes. Même Villechaize, affirme que le hollandais s'en sortait très bien.
Paris, sans Steins pendant 40 minutes?
Je ne suis pas certain qu'ils reviennent.
Match maîtrisé de Paris qui n’a pas eu à trop forcer pour cette rentrée face à une équipe de l’USAM beaucoup trop en surrégime en 1ère qui se paie cash en 2e même si Paris a levé le pied et les a laissé un peu revenir sur la fin…