Pour son premier match dans le championnat du monde, l’équipe de France a disposé du Brésil (24-22). Tout n’a pas été simple pour autant, et ce pendant soixante minutes. La défense française a mis vingt minutes à trouver les bons réglages face à la puissance des Brésiliens, José de Toledo en tête. Coincidence ou non, c’est quand Vincent Gérard est entré dans les cages que les Bleus n’ont plus encaissé de but pendant neuf minutes, en profitant par creuser le trou. En attaque, le duo Guigou-Mem a fait des étincelles, avec 9 buts à eux deux dans le premier acte. Après avoir compté jusqu’à cinq buts d’avance, les hommes de Didier Dinart sont rentrés au vestiaire avec trois longueurs d’avance (16-13). Après le repos, malgré les parades de Vincent Gérard, la France n’a pas réussi à conserver l’avance qu’elle s’était constituée (19-13, 35′). En échec en attaque, que ce soit dans le jeu ou la finition, elle multipliait les pertes de balle et voyait même le Brésil pour revenir à égalité à douze minutes de la fin (20-20, 48′). C’est finalement Gérard qui va se montrer décisif, avec deux arrêts dans les cinq dernières minutes avant une interception au milieu du terrain pour délivrer les Tricolores. Les Français seront de retour sur le terrain de la Mercedes-Benz Arena dès demain soir pour affronter la Serbie, qui a fait match nul avec la Russie (30-30) plus tôt dans la journée.
Résumé, réactions et statistiques à suivre.
A Berlin, Kevin Domas
La coïncidence, c’est surtout l’entrée de Sorhaindo à la lace de Di Panda. La rentree d’un DC aurait été bien dans la tourmente en deuxième ?
Étrange alors que l’équipe prennait l’eau dans ce secteur de jeu, avec en apogée du n’importe quoi les perte de balles de Dika Mem qui lui a en plus plombé la confiance au tir.
après une bonne écoute ,je préfère ce résultat ultra difficile mais qui va resserrer les liens ; aux victoires faciles des allemands et des danois ; pas sûr que cela les serve pour la suite…je n’aurais pas aimé une victoire par 10 ou 15 buts d’écarts.