
Franck Maurice et l’USAM ont décroché une belle victoire. Crédit : Maxime Cohen
Nîmes, Toulouse et Montpellier sont les grands vainqueur de ce samedi, en Starligue.
Dans sa lancée, Cesson n’était pas loin de l’exploit à Nîmes. Après un bon début de match (2-6, 9e), les Bretons ont eu du mal à trouver des solutions face à la base arrière gardoise qui n’a pas démérité. S’il a dû remplacer Benjamin Gallego en première période en raison d’une petite gêne, Damien Gibernon a fait le job sur le poste d’arrière droit (4/6). En face, c’est aussi la jeunesse qui a régalé. Mathieu Salou a enchaîné les fléchettes dans le but de Rémi Desbonnet et a maintenu les siens à hauteur (13-12, MT). Mais comme Nîmes sait le faire dans le money-time (26-26, 55e), un bon coup d’accélérateur pour assurer l’essentiel (29-26, FM).
Succès important de Toulouse
Montpellier s’est mis à l’abri plus tôt en revanche. Tremblay s’est accroché en première mi-temps avant de totalement lâcher au retour du vestiaire (15-12, MT). Treize minutes sans but, assez pour ne plus revoir le MHB (28-14, 46e). Descat (9/10) et Bos (7/10) se sont régalés, Kévin Bonnefoi a fermé la boutique (15 arrêts à 43%). L’addition est salée au coup de sifflet final, mais il n’y a pas eu match (34-22, FM).
Pour terminer ce samedi, Toulouse a décroché une belle victoire face à Saint-Raphaël. Les Toulousains, sérieux, ont directement été dans le match (15-11, MT). Ils se sont appuyés sur un bon Henrink Jakobsen (6/7) et surtout à un précieux Ayoub Abdi (5/5). Les Varois n’ont jamais mené et n’ont jamais été en mesure de revenir. Les hommes de Philippe Gardent reviennent à une longueur de Chambéry (32-27, FM).
M. C.
Avec le président de Toulouse qui annonce qu’il est favorable à un championnat à 18
Avec le risque de ne pas pouvoir jouer tous les matchs reportés d'ici la fin du championnat et les demandes des clubs qui se sentiront lésés, ce n'est pas non plus à exclure de se retrouver dans le même cas de figure que l'année dernière, avec aucune descente et des montées.
Déjà que les fins de saison à 14 étaient insipides avec de nombreuses équipes qui n’ont plus rien à jouer. A 16 si on va bout ce sera pire alors je n’ose même pas imaginer à 18…